Votre aventure
Capitale et principale ville d’Algérie, Alger se situe sur la côte méditerranéenne au nord du pays.
Elle répond en arabe au nom d'El-Djazaïr qui veut dire « les îles » en référence à un chapelet d’îlots qui se trouvait autre fois dans la baie d’Alger. Surnommée « Alger la blanche » par les colons français à leur arrivée dans le pays, la ville se démarque par la clarté de ses murs qui s'étendent à perte de vue. Escale obligée pour le voyageur voulant se rendre à l’intérieur du pays, la ville d'Alger pour ce qu’elle offre de richesses historiques et culturelles, fait partie des incontournables à visiter lors d’un séjour en Algérie. Vous souhaitez visiter cette ville atypique aux mille et un visages ? Alors n’hésitez pas à demander un devis pour obtenir les différentes propositions de visite guidée. |
Niveau: Très facile
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Afin de vous aidez à choisir la visite guidée qui vous conviendrait le mieux, vous trouverez ci-dessous, un aperçu des points d’intérêts à visiter lors de votre séjour à Alger.
La Grande Poste
Jardin El Hamma
Mémorial du martyr
Notre Dame d’Afrique
La Casbah
Bastion 23
Musée du Bardo
Le sacré cœur
La Grande Poste
LA GRANDE POSTE
Monument emblématique et repère urbain pour les Algérois et les touristes, la Grande Poste a été édifiée en 1910, pendant l’occupation française, dans un style architectural néo-mauresque représentatif du courant architectural oriental de l'époque voulu par le gouverneur dans un souci de rapprochement entre les colons et les algériens.
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Cet imposant édifice a été érigé sur le site d'un ancien fort turc, face au port commercial d’Alger, en contrebas du palais du Gouvernement.
La Grande Poste d’Alger est l'un des joyaux du patrimoine architectural algérien.
Elle tire son prestige de la splendeur de sa façade extérieure typiquement mauresque avec ses arcades, ses coupoles, ses minarets, son grand escalier en marbre et ses imposantes portes en bois précieux.
Son intérieur, splendide et d'un grand raffinement est quant à lui inspirée par le style hispano-mauresque d'Andalousie.
Le plafond est une merveille architecturale et le travail d’orfèvre des artisans qui ont façonné sa grande salle n’a, à ce jour, rien perdu de sa splendeur.
Point névralgique des services des postes et des télégraphes à l’époque coloniale, la Grande Poste a été transformée en 2018 en musée de l’histoire de la poste et des télécommunications.
La Grande Poste d’Alger est l'un des joyaux du patrimoine architectural algérien.
Elle tire son prestige de la splendeur de sa façade extérieure typiquement mauresque avec ses arcades, ses coupoles, ses minarets, son grand escalier en marbre et ses imposantes portes en bois précieux.
Son intérieur, splendide et d'un grand raffinement est quant à lui inspirée par le style hispano-mauresque d'Andalousie.
Le plafond est une merveille architecturale et le travail d’orfèvre des artisans qui ont façonné sa grande salle n’a, à ce jour, rien perdu de sa splendeur.
Point névralgique des services des postes et des télégraphes à l’époque coloniale, la Grande Poste a été transformée en 2018 en musée de l’histoire de la poste et des télécommunications.
Jardin El Hamma
JARDIN D'ESSAI EL HAMMA
Véritable poumon vert de la ville, placé entre les bordures de la Méditerranée et les montagnes d'Alger, le Jardin d'essai du Hamma, bénéficie d'un merveilleux microclimat dans lequel s’épanouissent plus de 3 000 espèces végétales rares provenant des 5 continents et dont les climats d'origine vont des plus tempérés aux plus tropicaux.
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Figurant dans le top 10 des plus beaux jardins du monde, la diversité, la conception et l’emplacement du Jardin d'essai du Hamma en font l’un des plus importants jardins d'acclimatation au monde.
Dès votre entrée dans le jardin, vos yeux seront attirés par la sublime flore tropicale qui y prospère et l’incomparable jeu de couleurs dans lequel les diverses nuances de verts viennent s'harmoniser avec le bleu du ciel et celui de la mer.
Le jardin d’essai du Hamma est agencé en deux parties bien distinctes : À l'ouest, se trouve le jardin à la française avec sa grande allée centrale bordée de palmiers washingtonias offrant une perspective sur la mer d'un côté, et de l’autre sur une colline surplombée par le monument des Martyrs.
Parallèle au jardin à la française, se trouve le Jardin à l'anglaise, constitué d 'allées ombragées bordées par une végétation luxuriante composée d'arbres à lianes et agrémenté de deux bassins.
C'est aussi là que vous pourrez admirer le fameux ficus à lianes où fut tourné, une partie du premier Tarzan : « The Apeman » de 1932.
Dès votre entrée dans le jardin, vos yeux seront attirés par la sublime flore tropicale qui y prospère et l’incomparable jeu de couleurs dans lequel les diverses nuances de verts viennent s'harmoniser avec le bleu du ciel et celui de la mer.
Le jardin d’essai du Hamma est agencé en deux parties bien distinctes : À l'ouest, se trouve le jardin à la française avec sa grande allée centrale bordée de palmiers washingtonias offrant une perspective sur la mer d'un côté, et de l’autre sur une colline surplombée par le monument des Martyrs.
Parallèle au jardin à la française, se trouve le Jardin à l'anglaise, constitué d 'allées ombragées bordées par une végétation luxuriante composée d'arbres à lianes et agrémenté de deux bassins.
C'est aussi là que vous pourrez admirer le fameux ficus à lianes où fut tourné, une partie du premier Tarzan : « The Apeman » de 1932.
Mémorial du martyr
MÉMORIAL DU MARTYR
Érigé en 1982 sur les hauteurs d'Alger pour fêter les 20 ans de l'Indépendance de l’Algérie, le Mémorial du martyr ou Maqam Ech-Chahid est un monument aux morts honorant les chahids, soit les combattants de la guerre d’indépendance algérienne morts pour la libération du pays.
Symbole du soulèvement populaire et hommage aux morts pour la nation, ce mémorial est l’un des sites les plus emblématiques d’Alger ! L'édifice se compose de trois feuilles de palmier qui se rejoignent à mi-hauteur, entourant une tourelle de style islamique surmontée d'un dôme. |
Les trois feuilles de palmier symbolisent trois périodes bien distinctes de l’histoire d’Algérie : l’occupation, la résistance et l’indépendance.
Au pied de chaque feuille de palmier est édifiée une statue de sept mètres de haut, représentant chacune, une figure de la lutte pour l’indépendance de l’Algérie: le Moudjahid de l’Armée de Libération Nationale (ALN) de l’intérieur , le Soldat de l’ALN des frontières et le Soldat de l’Armée Nationale Populaire (ANP)
À cause de la finesse de son design, de ses 92 mètres de hauteur et de la grande sismicité de la région, la réalisation de cet impressionnant monument fut un vrai défi technologique pour les ingénieurs de l’époque et pourtant, le chantier ne dura que 9 mois !
Le mémorial est posé sur une esplanade circulaire dallée de marbre blanc où brûle une flamme éternelle.
Dessous se trouvent également une crypte, un amphithéâtre et le musée du Moudjahid.
Au pied de chaque feuille de palmier est édifiée une statue de sept mètres de haut, représentant chacune, une figure de la lutte pour l’indépendance de l’Algérie: le Moudjahid de l’Armée de Libération Nationale (ALN) de l’intérieur , le Soldat de l’ALN des frontières et le Soldat de l’Armée Nationale Populaire (ANP)
À cause de la finesse de son design, de ses 92 mètres de hauteur et de la grande sismicité de la région, la réalisation de cet impressionnant monument fut un vrai défi technologique pour les ingénieurs de l’époque et pourtant, le chantier ne dura que 9 mois !
Le mémorial est posé sur une esplanade circulaire dallée de marbre blanc où brûle une flamme éternelle.
Dessous se trouvent également une crypte, un amphithéâtre et le musée du Moudjahid.
Notre Dame d’Afrique
BASILIQUE NOTRE DAME D'ARIQUE
Achevée en 1872, la Basilique Notre Dame d'Afrique se dresse fièrement au sommet d'une falaise surplombant la baie de la capitale.
L'architecture du bâtiment combine des influences byzantines et romaines et se caractérise par un grand dôme principal et des mosaïques bleues et blanches disposées autour de la partie supérieure de l'église. |
L'intérieur de style hispano-mauresque, comprend un riche mélange d'œuvres d'art religieuses, de mosaïques décoratives, de vitraux colorés et de citations méditatives dont la plus emblématique est « Notre Dame d’Afrique, priez pour nous et pour les musulmans ».
Surnommée affectueusement « Madame l’Afrique » ou « Lalla Myriem » par les algérois, elle est d’après le journaliste Lyes Menacer, le « symbole du brassage culturel et de la cohabitation religieuse depuis 160 ans »
Enfin, depuis l’esplanade de la basilique Notre dame d’Afrique, vous pourrez profiter d'une magnifique vue sur la mer, mais aussi de la vue sur le cimetière Saint-Eugène, dont les trois parties – musulmane, chrétienne et juive –ont été particulièrement bien conservées.
Surnommée affectueusement « Madame l’Afrique » ou « Lalla Myriem » par les algérois, elle est d’après le journaliste Lyes Menacer, le « symbole du brassage culturel et de la cohabitation religieuse depuis 160 ans »
Enfin, depuis l’esplanade de la basilique Notre dame d’Afrique, vous pourrez profiter d'une magnifique vue sur la mer, mais aussi de la vue sur le cimetière Saint-Eugène, dont les trois parties – musulmane, chrétienne et juive –ont été particulièrement bien conservées.
La Casbah
LA CASBAH
La Casbah d'Alger est inscrite sur la liste du patrimoine mondial de l'humanité depuis décembre 1992.
Habitée depuis l’Antiquité, elle a longtemps été la capitale de l’Algérie, jusqu’à la colonisation française en 1932. Architecture "Construisant leur casbah, les anciens avaient atteint au chef-d'œuvre d'architecture et d'urbanisme" disait le Corbusier. Ensemble urbain constituant un type unique de médina, ou ville islamique, la Casbah est caractérisée par ses maisons blanches et ses ruelles étroites qui descendent en cascade jusqu'à la Méditerranée. |
A ce jour, ils s’y conservent encore, de très intéressantes habitations traditionnelles, palais, hammams, mosquées et divers souks.
Comme vous pourrez le découvrir pendant votre visite, la richesse des habitations de la casbah réside dans leurs décorations intérieures et leur cachet musulman et méditerranéen. Elles sont souvent organisées autour d’un patio central qu’on appelle « wast edar » où l’on trouve la plupart du temps un puit ou une fontaine. Parmi les atouts de ces habitations, leurs terrasses qui offrent une vue imprenable sur la baie d’Alger. Les principaux palais et anciennes grandes demeures à visiter dans la Casbah sont Dar Aziza, Dar Hassan Pacha, le Palais Mustapha Pacha (musée de la calligraphie), Palais Ahmed Bey, Dar Khdaoudj Al Amia (musée de la culture), Dar Soltan, Palais des Raïs (Centre des Arts et de la Culture, également appelé Bastion 23) |
Histoire récente
La Casbah est également un symbole fort de la guerre d’Algérie. De grandes figures de la guerre y ont établi leur Quartier Général. En 1957, la Casbah fut le théâtre de la « bataille d’Alger », l’un des épisodes les plus marquants de la guerre d’Algérie. Dans la Casbah, la maison de Ali la pointe un héro et martyr de la bataille d’Alger a été transformée en petit musée consacré à Ali, à ses compagnons d’arme (Hassiba Ben Bouali, Hamid Bouhmidi et le Petit Omar) et aux autres martyrs de la Guerre d’Algérie.
La Casbah est également un symbole fort de la guerre d’Algérie. De grandes figures de la guerre y ont établi leur Quartier Général. En 1957, la Casbah fut le théâtre de la « bataille d’Alger », l’un des épisodes les plus marquants de la guerre d’Algérie. Dans la Casbah, la maison de Ali la pointe un héro et martyr de la bataille d’Alger a été transformée en petit musée consacré à Ali, à ses compagnons d’arme (Hassiba Ben Bouali, Hamid Bouhmidi et le Petit Omar) et aux autres martyrs de la Guerre d’Algérie.
Art et culture
Lors de votre parcours dans la Casbah, ne manquez pas de rendre visite aux authentiques artisans de la vieille ville devenus gardiens d’un savoir-faire ancestral perpétué par plusieurs générations d’artisans avant eux et qu’ils se battent, à leur tour, pour préserver. Parmi les savoir-faire représentés, il y a le travail du cuir, la dinanderie, l'ébénisterie, la porterie et le travail de la céramique.
La Casbah est aussi le berceau d’un style musical très ancré dans la culture algéroise et algérienne. C’est le style musical Chaâbi qui était aussi bien chanté par les musulmans que les juifs d’Algérie.
Le Chaâbi a été révélé au reste du monde grâce à la chanson Ya Rayeh de Dahmane El Harrachi célèbrement reprise par le défunt chanteur Rachid Taha qui a redonné vie à cette chanson qui s’est vu, par la suite, traduite et interprétée par des artistes des quatre coins du monde.
Lieux de culte
La Casbah est également caractérisée par ses incontournables lieux de culte musulmans.
Douze mosquées historiques s’étendent jusqu’à la basse Casbah, parmi lesquelles, la Grande Mosquée (Djamaa El Kbir), la nouvelle mosquée (Djamaa El Djidid), la mosquée Katchuoa, la mosquée Sidi Ramdhan et la mosquée Sidi Mohamed Cherif
On y trouve également des mausolées de grandes figures maraboutiques (Saints hommes et sages musulmans) comme Sidi Brahim et Sidi Abdelrahmane.
Lors de votre parcours dans la Casbah, ne manquez pas de rendre visite aux authentiques artisans de la vieille ville devenus gardiens d’un savoir-faire ancestral perpétué par plusieurs générations d’artisans avant eux et qu’ils se battent, à leur tour, pour préserver. Parmi les savoir-faire représentés, il y a le travail du cuir, la dinanderie, l'ébénisterie, la porterie et le travail de la céramique.
La Casbah est aussi le berceau d’un style musical très ancré dans la culture algéroise et algérienne. C’est le style musical Chaâbi qui était aussi bien chanté par les musulmans que les juifs d’Algérie.
Le Chaâbi a été révélé au reste du monde grâce à la chanson Ya Rayeh de Dahmane El Harrachi célèbrement reprise par le défunt chanteur Rachid Taha qui a redonné vie à cette chanson qui s’est vu, par la suite, traduite et interprétée par des artistes des quatre coins du monde.
Lieux de culte
La Casbah est également caractérisée par ses incontournables lieux de culte musulmans.
Douze mosquées historiques s’étendent jusqu’à la basse Casbah, parmi lesquelles, la Grande Mosquée (Djamaa El Kbir), la nouvelle mosquée (Djamaa El Djidid), la mosquée Katchuoa, la mosquée Sidi Ramdhan et la mosquée Sidi Mohamed Cherif
On y trouve également des mausolées de grandes figures maraboutiques (Saints hommes et sages musulmans) comme Sidi Brahim et Sidi Abdelrahmane.
Bastion 23
LE PALAIS DES RAÏS (BASTION 23)
Le Palais des Raïs ou Bastion 23 fait partie des plus importants monuments historiques de la capitale algérienne. Il représente l’un des derniers vestiges témoignant du prolongement de la Casbah jusqu’à la mer à l’époque ottomane.
Classé monument historique sous l’appellation « Groupe de maisons mauresques », il est composé de trois palais (17, 18 et 23) et six douerates, « maisons de pêcheurs ». |
Longtemps laissé à l’abandon, le Bastion 23 a été sauvé d’une destruction imminente et a subi pas moins de 5 années de travaux de restauration avant d’être ouvert au publique. Il est aujourd'hui classé au patrimoine mondial de l’Unesco et abrite le Centre des Arts et de la Culture du Palais des Raïs.
Visiter le Palais des Raïs est un vrai voyage dans le temps qui vous permettra d’avoir une vision globale d'un vaste ensemble urbain de l'époque ottomane et de découvrir les caractéristiques d’une demeure ottomane avec de nombreux éléments d’origine comme les arcs, les colonnes en marbre, les portes en bois, les carreaux de faïence et les plafonds en bois sculpté, tous représentatifs de l’art mauresque.
Pour achever votre voyage dans le temps, n’oubliez pas de visiter son époustouflante terrasse qui surplombe la mer depuis laquelle vous dominerez toute la baie d’Alger tout en essayant d’imaginer l'Algérie du temps des corsaires.
Visiter le Palais des Raïs est un vrai voyage dans le temps qui vous permettra d’avoir une vision globale d'un vaste ensemble urbain de l'époque ottomane et de découvrir les caractéristiques d’une demeure ottomane avec de nombreux éléments d’origine comme les arcs, les colonnes en marbre, les portes en bois, les carreaux de faïence et les plafonds en bois sculpté, tous représentatifs de l’art mauresque.
Pour achever votre voyage dans le temps, n’oubliez pas de visiter son époustouflante terrasse qui surplombe la mer depuis laquelle vous dominerez toute la baie d’Alger tout en essayant d’imaginer l'Algérie du temps des corsaires.
Musée du Bardo
MUSÉE DU BARDO
Inaugurée en 1930, la villa du Bardo située sur les coteaux de Mustapha supérieur était, à l'origine, une résidence d’été dont la construction remonterait vraisemblablement au XVIIIe siècle.
Celle-ci aurait appartenu à un prince tunisien, le prince Mustapha Ben Omar, exilé en Algérie.
Celle-ci aurait appartenu à un prince tunisien, le prince Mustapha Ben Omar, exilé en Algérie.
Au fil des années cette villa a eu plusieurs autres propriétaires pour ne citer que les deux derniers d’entre eux, Ali Bey- l’agha de Biskra- qui y laissa son empreinte en l’agrémentant de belles fresques et de carreaux de faïences importés de plusieurs pays et Monsieur Pierre Joret qui tout en respectant la cohérence architecturale de la bâtisse a fait réaliser des extensions dans la partie basse de la propriété.
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Au décès de ce dernier, la villa du Bardo a été cédée par la sœur du défunt à l’état qui décida d’en faire un musée de préhistoire et d’ethnographie racontant les origines paléolithiques et néolithiques de l'Algérie.
Outre le plaisir qu’en retireront les amoureux des musées, certains d’entre vous seront peut-être plus intéressés par le côté architectural de la demeure qui se distinguent par la richesse de son décor : colonnades et escaliers de marbre, faïences italiennes et portugaises alliées aux boiseries, jardins et patios où flotte une suave fragrance de jasmin et où trônent de magnifiques jets d'eau.
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Le sacré cœur
CATHÉDRALE DU SACRÉ COEUR
Description à venir...